PLAN DU SITE

Estime de soi et formation

 Chemin de formation n°14

Editions Téraèdre ISBN: 978-2-912868-85-5 (2009) 21 €

Dernière de couverture

Éditorial

DOSSIER : "ESTIME DE SOI ET FORMATION"

1. Les fondements

• Estime à construire, estime à restaurer... Dans quelles situations et quels retentissements pour le processus de formation ?

2. En recherche

• De l'enfance à l'âge adulte, que nous apprennent les travaux qui croisent estime de soi et apprentissage ?

3. En pratique

• Sur le terrain, comment se manifeste l'importance de l'estime que l'on se porte et qu'on nous porte ?

4. Variations

• Nous étendrons notre regard sur l'estime de soi à l'ensemble d'un parcours ou d'une dynamique de rapport au savoir intégrant changements et difficultés de vie.

Envie de dire : sous forme de deux billets d'humeur d'actualité Lectures-découvertes : de quelques nouveautés à côté desquelles ne pas passer...

 

Un passage

L'estime de soi est souvent liée à une échelle de réalisation de buts personnels

Si l'on est à la hauteur des buts que l'on s'est fixés soi-même, alors on peut jouir d'une bonne estime de soi. On se doute que ces buts peuvent être fortement influencés par les jugements émis par autrui. L'estime de soi tient autant à l'exigence à laquelle on se soumet qu'à la réalisation concrète des objectifs que cette exigence implique. Deux personnes atteignant les mêmes objectifs pourront ne pas éprouver le même sentiment d'estime de soi, tout simplement parce que l'une aura défini des critères de vie morale très élevés, tandis que l'autre aura été beaucoup plus laxiste dans ses ambifions. Sont écartés de la présente réflexion les buts morale-ment neutres, comme la réussite d'une performance sportive ou les buts moralement mauvais comme ceux que peuvent s'assigner un voleur ou un criminel. L'athlète qui obtient le classement espéré bénéficiera d'une bonne estime de soi, tout comme le voleur qui conduira son hold-up avec Lestime de soi dépend donc ici d'un critère defficai rapport à une norme déterminée, mais répétons que c rapport à une norme moralement bonne que l'on ici, ce qui permet, au passage de considérer que l'in tion ou la restauration de l'estime de soi sans autre pr n'est pas, moralement, un objectif pertinent. Livrée à ple perception subjective, l'estime de soi serait limite simple critère d'efficacité, c'est-à-dire à une adéquati ambitions à des réussites. Or, nous concevons ici 1 de soi comme un respect de soi lié à la réalisation c moralement bons.

Parler d'estime de soi suppose un retour réflexif s

« Soi » est un pronom « réfléchi » qui fait pense bien au miroir réfléchissant et à la réflexion optique qi met la distance par rapport à soi-même, qu'à la réi consciente renvoyant à la construction d'une image objet d'une évaluation. Par conséquent, puisque la cons réflexive est requise dans l'opération de l'estime de soi, c ne saurait se limiter à n'être qu'un simple sentiment él Lestime de soi implique la distance à soi.

Commentaire

Un numéro spécial sur un sujet très important pour les enseignants.

Voir: http://www.lanibayle.com/

Recherche par moteur
Recherche par auteur de l'article
Recherche par mots clefs
Plan du site
L'auteur de ce site
Pour m'écrire

Classement de sites - Inscrivez le vôtre!