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Le couple Parent - Professeur

L'entretien Prof - Parent

            Les relations entre parents et professeurs sont importantes pour l'enfant, pour son éducation, pour sa motivation à apprendre. Mais les difficultés liées à la rencontre de ce couple sont nombreuses car il s'agit bien d'un véritable couple avec tous les problèmes qui lui sont inhérents. Il est donc utile de chercher à comprendre cette relation à la lumière des études faites sur le couple. Cette relation a bien des dimensions: espace, temps, demandes... et nous les aborderons par la suite.

 

  Voici tout d'abord quelques catégories

Le couple inexistant

             Pas de relation entre l'enseignant et les parents. Non que cette relation ne soit pas souhaitée, bien au contraire. "C'est justement ces parents qu'on ne voit jamais qu'il faudrait voir plus souvent" ... Mais on ne fera rien pour les voir, pas de coup de téléphone, pas de déplacement, pas d'intervention auprès de l'enfant. Pour de bonnes raisons: "C'est inutile, ils ne viendront pas ", "ça serait gênant pour eux", "ils s'en fichent", "j'ai pas le temps" etc;

En face, le ou les parents souhaiteraient, peut être, voir l'enseignant mais "cela va le déranger", "je ne suis jamais libre aux heures de classe" et puis "je ne saurais pas lui parler et je ne comprendrais pas ce qu'il me dirait..." Ou encore: "Mon enfant aura honte de moi et cela pourra lui nuire" etc....

             Chacun reste dans son imaginaire en se gardant bien de le confronter à la réalité de l'autre, par peur, par intérêt: "c'est plus facile comme cela" ou par habitude comme ces vieux couples qui n'ont plus autre chose à se dire que "passe moi le sel"!

 

Le couple agressif

             C'est le parent qui vient faire la leçon à l'enseignant sur ses méthodes (globale ou non!!!), qui vient lui dire que "de mon temps.... et ça marchait très bien". Il n'est pas là pour obtenir un changement du prof ( à moins de se croire tout puissant... ça arrive! ) mais pour avoir l'occasion d'agresser l'enseignant; "ça fait du bien de pouvoir le faire"; On peut passer sur quelqu'un toute la rancoeur de ne pas avoir le gamin idéal; et puis c'est l'occasion de prendre sa revanche sur un passé où on était obligé de se taire devant l'enseignant. Cela peut aussi être l'occasion de trouver un bouc émissaire à tous les déboires, les déceptions de la vie.

             On peut encore trouver le cas de parents particulièrement culpabilisés de ne pas faire tout ce qu'ils pensaient devoir faire vis-à-vis de leur enfant. Et alors c'est plus facile de dire "c'est pas moi, c'est lui". Dans tous les cas cette agressivité résulte d'une souffrance, d'un sentiment d'impuissance devant une réalité qu'on ne maîtrise pas. Et c'est cette souffrance qu'il est utile d'entendre.

             En face, l'enseignant est noyé sous un déluge de reproches qui ne peuvent rester sans influence sur lui. Ces reproches le renvoient à ses propres sentiments de culpabilité: "je n'ai pas donné assez de devoirs", "'j'ai été trop rapide dans mes explications", "je ne me suis pas assez intéressé à ce gamin; du reste je ne savais même plus son nom ! " etc... Sentiments fort désagréables dont l'enseignant cherchera à se débarasser en attaquant à son tour: "Qu'est-ce que vous y connaissez en méthode pédagogique? " "De votre temps? Mais justement on y est plus de votre temps et les gamins ne sont plus comme vous!", "Que feriez-vous avec 30 jeunes devant vous toute une journée , vous qui en avez par-dessus la tête avec un ou deux le mercredi ?"...Evidemment la situation inverse peut se produire: l'enseignant convoquant des parents sur la défensive pour leur reprocher toutes les difficultés qu'il rencontre avec leur enfant.

             Dans les deux cas, c'est la boule de neige où chacun attaque et se défend. Chacun repartira soulagé d'avoir pu déverser sa bile, et en même temps frustré de n'avoir rien tiré de cette rencontre.

             Cependant là, les imaginaires se sont rencontrés, contrairement au couple précédent. L'imaginaire de l'un (à base de culpabilité) est rentré en résonance avec l'imaginaire de l'autre provoquant l'augmentation des affects des deux parties. La distance n'étant pas suffisante, chacun prend pour argent comptant ce que dit l'autre sans percevoir que derrière cette agressivité se trouve de la souffrance qui pourrait se dire.

 

Le couple pervers

             On trouvera une définition précise de ce terme chez Élisabeth Roudinesco ; prenons le dans le sens d'avoir du plaisir à abaisser l'autre. Ce couple ressemblera au précédent dans la mesure où l'un agressera l'autre, cherchera à le culpabiliser mais souvent de façon plus subtile que précédemment: "Est-ce que des devoirs à faire à la maison n'aideraient pas les enfants ? Mais évidemment c'est vous qui voyez". Ou de la part de l'enseignant "Vous savez on a montré que les enfants qui passent plus de 5 heures devant la télévision ont du mal en classe". Mais cette fois l'un ne se défend pas par de l'agressivité mais par des justifications où il se présente comme coupable: "C'est pas ma faute, je travaille toute la journée", "J'ai pas fait d'études alors je ne peux pas l'aider. C'est pour cela qu'il ne comprend rien". L'un a du plaisir à prendre l'autre en défaut et l'autre l'accepte avec délectation (au moins inconsciente! !) "battez-moi puisque je dois être puni" dit l'élève Jean-Pierre. Cette relation peut, en effet, exister également entre enseignant et élèves (voir aussi: Pascale)

             Ce couple sado-maso est très solide (paradoxalement il divorce rarement ! ). Parfois il se retourne: si l'entretien dure l'agressé devient agresseur et aussitôt l'autre prend la position complémentaire montrant ainsi que l'important n'est pas l'agressivité mais le jeu complémentaire qui s'est établi entre les deux et qui donne du plaisir à chacun. La place de l'enfant dans ce couple est bien difficile ! Les imaginaires se correspondent trop bien, la rencontre inconsciente est parfaite dans sa complémentarité. Il n'y a pas de place pour le manque, le doute, l'autre. Et cela peut parfois aller loin, jusqu'à la traduction devant les tribunaux de l'un ou de l'autre. Ce qui est à retenir, là, ce n'est pas l'agressivité mais le plaisir rencontré dans ce jeu.

             Si un tiers n'intervient pas, l'évolution de ce couple est guère probable. L'enfant risque d'en faire les frais. Dans ce cas un médiateur scolaire (chef d'établissement, inspecteur, collègue ...) est indispensable... s'il est compétent!.

 

Le couple possessif

             On n'est plus dans le manque mais dans le trop ! Le parent veut voir l'enseignant tout le temps, il profite de ces rencontres (provoquées ou non, au marché ou ailleurs) pour lui parler de son enfant comme si l'enseignant n'avait que cet élève à s'occuper. Il sera prêt à lui faire des compliments sur son enseignement, sa façon de s'habiller ou tout autre chose pour obtenir ses faveurs, c'est-à-dire son attention pour lui et son enfant; des petits cadeaux peuvent faire l'affaire au besoin, des invitations etc... Il faut qu'il se rappelle à son bon souvenir continuellement comme s'il avait peur d'être oublié et son enfant avec lui.

             L'enseignant risque d'en avoir rapidemment "assez", "trop c'est trop" et il va éprouver le besoin de "prendre ses distances" par rapport à ce parent et à cet enfant qui finissent par "l'étouffer", risquant ainsi, par augmentation de la peur de l'autre, de déclencher une demande encore plus forte!

             L'imaginaire de l'un (une demande sans limite de reconnaisance ou d'attention) fait peur à l'autre qui dans son imaginaire se voit envahi, étouffé, débordé. Seule une mise en mot de ce qui se passe dans l'ici et maintenent de la rencontre, avec rappel du tiers (les contraintes institutionnelles, l'obligation de s'occuper de tous les enfants de la classe...) peut donner de l'air à cette relation.

 

Le couple en présence d'un fantôme

             Il peut y avoir une collusion inconsciente entre les deux membres du couple parent- enseignant pour ne pas parler du tiers (le fantôme) Si la mêre est là on ne parle pas du père et réciproquement. De même on ne parle pas des contraintes de l'institution comme si les questions allaient se régler dans le secret de ce couple entre le parent et l'enseignant. On est bien ensemble, on se comprend et on va surement trouver une solution aux problèmes qui se posent. Il n'y a pas à s'en faire. Le parent a toute confiance en l'enseignant et l'enseignant, flatté de cette confiance, se sent tout-puissant pour résoudre le problème.

             Là encore les imaginaires se rencontrent et le réveil risque d'être douloureux quand le fantôme deviendra réalité, que le père ou la mère ne sera pas d'accord avec la solution trouvée ou que l'institution ne ratifiera pas cette solution.

 

             Ce ne sont que des exemples. Ils montrent qu'un entretien parent-professeur est une rencontre des imaginaires de l'un et de l'autre qui vont structurer cette rencontre. L'attention à ce qui se joue là est aussi importante que le contenu de l'échange car c'est lui qui conditionne les solutions trouvées ou non trouvées.

 

 La place de l'enfant dans ce couple

             Si une rencontre a lieu entre parent et professeur c'est, en principe, au sujet de l'enfant. C'est le point commun du couple, le lien entre les deux, "l'objet " (?!) de la rencontre. Mais quelle place va avoir l'enfant dans la rencontre? Quelle place les protagonistes de ce couple vont lui réserver?

L'enfant oublié

             Il peut, après un temps très court, au début de l'entretien, être totalement "oublié" au profit du couple lui-même et des règlements de compte à l'intérieur du couple; l'important étant, comme on l'a vu plus haut, par exemple, de reprocher à l'autre ses agissements. L'enfant peut être présent à l'entretien, silencieux, hors du coup, non concerné. S'il se manifeste il devient le gêneur et on le renvoie dans son coin.

 

L'enfant médiateur du couple

             Cette fois l'enfant est bien présent ! C'est même lui qui parfois compte les coups, donnant raison à l'un ou à l'autre; en rappelant l'un à l'ordre: "Tu exagères, c'est pas toujours comme cela", ou "Maman a raison, c'est pas commode quand on travaille toute la journnée" . C'est un peu lui l'adulte devant des gamins qui se chamaillent

 

L'enfant enjeu du couple

             C'est à qui obtiendra son accord contre l'avis de l'autre. "Je pense qu'il devrait faire un BEP, qu'en penses-tu Jean?" -"Il a toujours rêvé de devenir Ingénieur, n'est -ce pas Jean?". L'enfant est là un enjeu symbolique de quelque chose d'imaginaire, important pour le couple comme la "valeur" de l'un ou de l'autre. S'il fait un BEP c'est que l'enfant n'est pas un bon élève et l'enseignant n'y peut rien, ce n'est pas son enseignement qui est en jeu; S'il devient ingénieur c'est qu'il a été élevé dans une bonne famille de gens intelligents, etc...

 

             Il ne s'agit que de quelques exemples montrant qu'un entretien parents professeur est bien plus complexe que la résolution d'un simple problème concret à propos de l'enfant. En effet la résolution de cette question va dépendre des phénomènes imaginaires de la dynamique relationnelle entre l'enseignant et les parents. et c'est à cette dynamique que l'enseignant doit être sensible. Une formation à l'entretien est bien souvent un atout pour l'enseignant.

Voir une expérience intéressante:

Fenêtre ouverte sur salle de classe

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Commentaire

Réactions

<<Nous travaillons dans notre service académique, la thématique des relations Ecole Famille. Merci pour la mise à disposition de l’article sur le couple Parent Prof.>> D Lescaudron Conseiller CAAEE

<< intéressant.>>

<<J’allais intervenir pour évoquer le besoin de protection absolu, le graal du zéro risque, et je vois que dans les commentaire quelqu’un m’a devancé. Je ne savais pas que l’école pouvait être comparée à un abattoir. J’ai quelques années de métier et je m’aperçois que cette exigence sécuritaire prend le pas sur la nécessité d’apprendre à vivre en société, cela est sans doute à mettre en lien avec le développement de l’individualisme. Par ailleurs, article très intéressant>>

<<Dans ma localité (Ville de Cove en république du BENIN) il se développe de plus en plus le couple pervers, ceci constitue un poison pour l’éthique au niveau du système scolaire. Les enseignants ont du mal à jouer leur rôle d’éducateur. Malheureusement le taux d’analphabétisme ne permet pas de partager cet article qui peut aider à changer les mentalités. L’auteur du présent article a fait un travail minutieux qui mérite d’être encouragé .>>

<<En tant que stagiaire, j’ai cette année été confrontée au dur problème du dialogue maître-parent. J’ai constaté pendant mes journées de tuilage que la titulaire avait renoncé à faire respecter toute discipline dans sa classe (des élèves qui se lèvent, parlent sans arrêt, un élève debout sur sa chaise qui va ensuite regarder à la fenêtre..)car elle avait , après deux mois de cours, fondu en larmes devant ces élèves de cycle 3 indisciplinés qui avaient le soutien de leurs parents ...Elle revenait d’un arrêt maladie pour dépression et avait négocié une sorte de paix sociale qui m’avait fortement interpellée.. Les parents ont souvent un discours dégradant sur les enseignants , les élèves se sentent donc autorisés à remettre en cause l’autorité de ce dernier. Les parents semblent persuadés que l’enseignant lorsqu’il punit, agresse leur enfant , que ses décisions sont purement subjectives voire que l’enfant est harcelé...>>

<<J'ai donné hier un atelier communication à des directeurs et enseignants à partir de l'improvisation théâtrale. La co-construction des histoires et les compétences que cela développe (écoute, assertivité, souplesse, créativité, ...) ont nourrit les rélfexions sur les relations avec les parents. Plus d'infos sur www.ex-pression.be >>

<<Comment réagir quand un enseignant propose un exposé à faire à votre enfant, que celui-ci y met tout son coeur et organise des rencontres avec ces camarades car c’est un exposé en groupe et que l’enseignant ne met même pas de mot dans le carnet de liaison aux parents pour expliquer brièvement ce qu’il attend de l’élève !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et bien c’est un micmac, un des élèves du groupe est parti seul chez lui en pensant aller chez un copain au lieu d’aller en périscolaire et la maman de retour du travail va chercher son enfant chez le parent concerné et n’y trouvant pas son enfant fi une crise d’angoisse, voilà où mène un manque de dialogue de la part de l’enseignant. l’enseignant a su motiver les élèves mais dans l’incompréhension total des parents et hop un dérapage qui c’est bien terminé mais qui aurait pu mal tourner.... de plus l’enseignante s’en fou !!!!!!!!!!!!!!!!!!! c’est bien la première fois que je suis confronté à ce genre de problème après 17 ans de pratique rétorque t’il!!!! quelle belle phrase au lieu de se remettre en question !!!!!>>

<<je ne retrouve pas dans vos description le parent qui attend de l’école qu’elle offre un cadre sécurisant pour apprendre face à un enseignant qui se méfie de ses élèves et prend tout comme une agression. Envoyer son enfant à l’école dans ces conditions, c’est l’envoyer à l’abattoir>>

<<j’ai lu avec beaucoup de désarroi votre étude sur la relation parent-prof car je me suis reconnue dedans, je pense avec le recul (2 j) avoir vraiment bousculé l’establishement de l’instit (gs maternelle) et le directeur d’une façon trop cavalière et le débat à dégénérer avec des reproches de leur part vis-à vis de notre choix de déscolariser au bout de 3 mois de ps et de revenir en gs sur demande de notre enfant. j’ai bien senti que j’avais touché la corde sensible en disant que le 1er éducateur c’était moi et que je devais être informé d’adultes à adultes pour toutes sorties hors programme (ici galettes des rois chez l’atsem à la retraite),face à un mur j’ai dérivé sur la débauche de bonbons en demandant juste à faire appliquer la loi, c’en été trop, j’avais attaqué la pauvre maîtresse (malade d’alcoolisme en prime) Je suis très troublée et ne sais comment faire pour me calmer(j’angoisse) et tenter d’établir un dialogue. j’avoue ne pas réussir à leur faire confiance car je constate qu’ils ont baissé les bras depuis longtemps (bonbons, telévision, activité pseudo-pédagogique, dévalorisation, étiquetage...) et n’ont plus envie de créer un climat dynamique et propice à l’évolution. Je suis touchée au coeur de l’émotionel car je suis persuadée que les enfants se construisent en miroir et mon enfant est 24h par semaine face à ces personnes, effectivement je crains que les valeurs qui je pense devraient être commune au service public et aux parents ne soient plus véhiculé que dans un sens et que cette école défait l’éducation que nous avons tant de mal à maintenir dans la société d’aujourd’hui. Je pleure sur cette école qui n’est plus en capacité de soutenir les parents et je l’avoue je me sens seule dans la cage aux lions (représentant de parents fictifs). Ailleurs l’herbe n’est pas plus verte alors que faire, que dire? Cordialement>>

<<Bonjour, Je suis très triste et en même temps soulagée de lire cet article.Je viens d’avoir ce matin un entretien avec le prof de ma fille qui est au CP, en présence de 2 autres enseignantes, ce qui n’était pas prévu...Ma fille étant bonne élève, l’entretien que j’ai demandé, visait plusieurs thèmes (1- l’évolution de la classe en matière de lecture avec la méthode globale, 2- l’évaluation de niveau des élèves car 2 élèves, à savoir les 2 enfants des profs présentes, ont bénéficié d’exercices à part, durant les heures de cours du 1er trimestre, 3-l’organisation de la communication parents-enseignants, 4- l’absentéisme et le besoin de certificat médical pour la piscine) En bref, je me suis trouvée face à un accueil des plus réactifs... - la méthode globale a fait ses preuves et est du ressort de l’enseignant - les 2 élèves concernés étaient finalement plus que 2 (?) et cela relève de l’enseignement adapté à chaque niveau (OK, je n’ai aucune preuve tangible mais la maitresse de ma fille me dit également que tout le monde a le même niveau sensiblement) - la communication inexistante parents-enseignants (pas de communication orale possible avec l’enseignant, messages courts à délivrer à l’enseignant responsable de récréation, pas 10 lignes dans le cahier de liaison, c’est trop, mots aux parents sur un ton très autoritaire, on me répond qu’il faut parler aux parents - à certains - comme à des enfants) et que si le ton ne m’a pas plus, tant pis, c’est comme ça, ce sont eux les enseignants... bref, tout l’entretien comme cela, dialogue de sourds-muets ou non dialogue ? heureusement, je m’étais préparée, je suis restée calme et pourtant j’ai dit mon ressenti mais je suis déçue je croyais au partenariat parents-enseignants et à l’inter-dépendance, en tout cas, avec ces personnes, cela ne fonctionne pas. Je vais donc mettre mon mouchoir dessus et m’adapter à cette non-communication, par obligation.>>

<<Trés intéressant toutefois afin d’approfondir votre sujet vous devriez faire le meme travail sur les enseignants pervers inexistants et agressifs; personnellement j'en ai deja rencontré un alors que mon fils est en première année de maternelle>>

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